☀/☾



 
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal

 

 Louis Charrier

Aller en bas 
2 participants
Louis Charrier
Admin

Louis Charrier

ABOUT ME

Âge : 24
Messages : 289
Crédits : blackswan

Feuille de personnage
XP:
Louis Charrier Left_bar_bleue118/200Louis Charrier Empty_bar_bleue  (118/200)

Louis Charrier Empty
MessageSujet: Louis Charrier   Louis Charrier EmptyLun 23 Oct - 8:59

Louis Charrier

  • Charrier
  • Louis
  • 24 ans
  • 21 mars 1958
  • françaises par son père, monégasques par sa mère
  • sang-mêlé
  • célibataire, père d'une petite fille de 3 ans vivant avec sa mère
  • il a fait ses classes parmi les Vermillon à Beauxbâtons
  • agent de sécurité pour Securisort Ltd.
  • un singe
  • Charles Leclerc
Expliquez brièvement dans quelle mesure la pureté du sang est importante (ou non) à vos yeux ► En tant que sang-mêlé, fils d'une moldue, la pureté du sang n'a jamais eu d'importance à mes yeux.

Caractère

Intelligent — Rancunier — Caméléon — Curieux — Espiègle — Observateur — Protecteur — Fuit les conflits — Voleur — Sympathique — Hyperactif — Immature — Animagus (Saïmiri)

Mes orbes sombres n’ont pas lâché les lèvres de la sorcière. Perché sur l’épaule de Tristan, je l’écoute parler de chiffres sans se douter que je suis là. Enfin, ce n’est pas totalement vrai puisqu’elle jette quelques oeillades sur ma fourrure rousse. Parfois, il lui arrive aussi de suivre le battement régulier de ma longue queue, juste avant de pointer une autre ligne du bilan dont elle explique les détails à mon frère. Sa façon de rester parfaitement impassible me rend perplexe. Même lorsque Tristan tente quelques blagues et lui bouscule « accidentellement » la cheville du bout de sa chaussure ou qu’il lui frôle la main par « inadvertance », elle rit nerveusement et s’excuse à la place de mon frère. Pourtant, on voit bien qu'elle rougit un peu, même sous ses airs de sainte.

Chassant l’air d’un nouveau mouvement de queue, je saute de mon perchoir pour atterrir au milieu des parchemins, braquant un regard interloqué sur la comptable. Tristan essaye de me chasser du centre de la table, visiblement embêté que son saïmiri ait interrompu leur cours. Ou devrais-je dire leur flirt… Mais je me retourne vers lui, les canines apparentes, feintant l’éventualité d’une morsure devant Jenna et signifiant à mon frangin qu’il est temps d’arrêter leur petit jeu. C’est à croire qu’il a oublié son nom de famille. Pourtant celui qui a ruiné la vie de notre père était bien un Cenamor. Le même que celui qui a éduqué la mignonne petite comptable que nous avons devant nous.

« Bizarre, il est plutôt sympathique d’habitude », se défend Tristan en me lançant un regard assassin. Et il a raison. Quand la rancune ne me consume pas, je peux être le plus adorable des primates, à l’image de l’homme qui se cache sous cette touffe de poils.
« Reste tranquille, tout va bien », continue-t-il d’une voix plus calme. Il me sourit et je relâche aussitôt mes babines, recouvrant mes dents pointues avant de remonter sur son épaule. Rester tranquille n’est pas mon fort alors que je ne tiens jamais en place mais puisqu’il prend en compte mes avertissements, je ne peux qu’être rassuré. Tristan n’est plus un gosse et même s’il se comporte comme tel — ce doit être un trait de famille —, il n’a pas besoin d’avoir constamment son grand frère sur le dos (ni un singe sur l’épaule). De toute façon, je fuis les conflits comme la peste et ce n’est certainement pas avec lui que je me disputerai. Tout ce que je veux, c’est lui rappeler qui il a en face de lui.

Mais le cours reprend comme si rien n’était arrivé et je recommence à observer l’attitude coincée de Jenna. Au moins, elle reste hermétique en toutes circonstances, même devant les manières charmeuses de Tristan. Il n’empêche que je continuerai à me méfier d’elle. Et il n’empêche qu’elle ferait mieux de se méfier de moi.

L’air de rien, je bondis sur les genoux de mon frère et disparais sous la table.
C’est mal. Je ne devrais pas faire ça… Et c’est pourtant si tentant. Surtout qu'elle ne remarquera rien.
Alors je me faufile sous les pieds de sa chaise et me poste sur un meuble juste derrière elle. Je zigzague entre les objets, étudiant chaque cadre, chaque vase, chaque statuette posée sur l’acajou. Sans s’interrompre, elle suit néanmoins ma progression des yeux, craignant sans doute que je fasse tomber quelque chose… Mais ce n’est pourtant pas pour sa décoration qu’elle devrait s’inquiéter mais bien pour la montre qui ornait encore son poignet quelques secondes plus tôt.

Avec un peu de chance, elle sera en retard demain.

Histoire



Famille:

I. Cécile (Monte-Carlo, Monaco, 1958-1962)


« Moi, un pique-assiette ? Allons, ma colombe, ton frère raconte n’importe quoi ! » s’était écrié Jules en faisant miraculeusement apparaître une rose blanche qu’il fit mine d’avoir trouvée derrière son oreille. Il la lui offrit en même temps que son plus beau sourire, ce qui installa immédiatement le doute au fond du regard azuré de Cécile. La main posée sur son ventre arrondi, elle cherchait désespérément à voir tout ce que les Lenverpré reprochaient à Jules... Mais derrière cette expression angélique, ça lui semblait tout bonnement impossible qu’il se cache la moindre mauvaise intention. Alors elle se saisit de la fleur, en inspira la délicieuse odeur et recommença à sourire.
« D’ailleurs on devrait se marier ! »
Elle s’étrangla aussitôt dans un hoquet de surprise. Il l’aimait donc vraiment ?
« Et si tu regardais au fond de ta poche ? » lui suggéra-t-il alors. Ce qu’elle fit, y découvrant une bague dorée dont elle devinait à l’éclat que ce n’était pas de l’or. Mais fond, elle se fichait bien que c’en soit ou non ! De l’argent, les Lenverpré n’en manquaient pas. Et puis, Cécile, ce qu’elle voulait, c’était l’amour que Jules avait à lui donner.


« Mais t’es complètement naïve, ma pauvre fille ! » Cécile accusa le coup, les yeux larmoyants et les lèvres tremblantes. Mais puisque Louis venait de se mettre à pleurer en entendant son oncle hausser le ton, elle s’était empressée de ravaler ses larmes pour cajoler son ainé, de peur qu’il ne réveille Tristan. Ce dernier faisait ses dents et dormait à peine, alors comme à chaque fois, Cécile comptait bien étouffer ses propres émotions pour préserver celles des autres. « Henri, ne parle pas si fort… Je sais ce que tu penses de Jules, mais…
— C’est un escroc ! Ouvre les yeux, Cécile ! »
Louis pleura de plus belle. Et comme elle s’y attendait, Tristan sortit de ses songes pour l’imiter. Alors à son tour, Cécile sentit les larmes lui monter aux yeux tandis qu’elle essayait désespérément de calmer ses deux fils, sous le regard incendiaire de son frère.
« Tu racontes n’importe quoi ! Jules avait des problèmes d’argent...
— C’est un voleur ! Bon sang, Cécile… Tu ne peux pas le défendre alors qu’il a forcé le coffre-fort de Papa ! Ce type est malhonnête. D’ailleurs si tu l’épouses, tu devras faire une croix sur nous. Les parents ne veulent plus être mêlés à lui. Et moi non plus d’ailleurs… Si tu ne le fais pas pour toi, fais-le au moins pour tes enfants. »


« Pardon ?
— C’est mieux qu’on arrête de se voir. Papa et Henri trouvent que tu as une mauvaise influence sur les garçons, balbutia Cécile alors qu’elle fuyait toujours le regard de Jules.
— Non mais tu plaisantes ? Ce sont mes fils. Ta famille te monte la tête ! Tu sais très bien que je vous adore !
— Arrête de crier, tu me fais peur ! Je ne veux pas t’épouser et je préfère que tu ne rendes plus visite aux garçons. Tu les reverras quand tu auras arrêté de jouer et que tu auras remboursé tes dettes. »
Le regard de Jules s’était considérablement assombri.
« Depuis quand tu te soucies de l’argent ? De toute façon, je suis sur un gros coup. Ce soir je serai tellement riche que je nous achèterai un bateau et on partira tous les quatre, loin des mauvaises langues.
— Ah oui ? Ca fait des années que t’es sur des ''gros coups''… Ce sera quoi cette fois ? Tu vas braquer une bijouterie ? Tout ça pour tout dilapider au casino le soir-même ? Je n’en peux plus, Jules. J’en ai assez de tout ça. »


II. Jules (France, 1962-1972)


Août 1962, Deauville, France.

« Viens voir ça, Louis ! »
L’air outrageusement amusé, Jules fit grimper son fils sur ses genoux pour le laisser regarder la photo dans le journal.
« Pourquoi Maman est en pyjama ?
— Parce qu’elle a dit que je vous avais enlevés toi et ton frère… Et que personne ne l’a crue quand elle a raconté qu’on s’était envolés dans le ciel. Mais ce n’est pas parce qu’on ne voit pas les sombrals qu’ils n’existent pas. Tu vois, Louis, les Moldus sont vite impressionnés.
— C’est quoi les Moldus ?
— Ce sont des gens qui ne croient pas en la magie. Des gens comme ta Maman. »
Et il arracha la page où figurait l’article sur l’internement de Cécile dans un asile avant de sortir sa baguette. Il tapota trois fois le journal de son extrémité et le papier se froissa jusqu’à prendre la forme d’un petit cheval squelettique aux ailes de chauve-souris. L’origami s’anima et la créature prit bientôt son envol sous les yeux émerveillés du gamin.


Juillet 1972, Paris, France.

Ils formaient une belle paire tous les deux. En tous cas, c’était ce que se disait Jules en voyant ses deux gosses à l’oeuvre dans les ruelles de Paris, chipant dans les sacs à main et récupérant les billets au fond des poches. « C’est que ça commence à devenir rentable », avait-il déclaré en comptant la liasse de francs qu’ils avaient réussi à amasser pendant que Tristan comptait les pièces et que Louis mordait l'alliance qu’il avait dérobée à une dame dans le métro.
« Ch'est mou, qu’il avait dit, les dents toujours serrées sur le bijou.
— C’est que c’est de l’or. Bonne pioche, fiston. »


Décembre 1972.

« C’est vrai qu’il est pâlot », avait commenté Jules en regardant le gamin qui échangeait des cartes de chocogrenouilles avec le sien. Il avait une tête de moins que Louis et semblait fait de porcelaine tant il avait le teint laiteux et l’air fragile. Jules reporta néanmoins son attention sur le père Latour dont l’inquiétude chiffonnait ses traits. Glissant une cigarette entre ses lèvres, il fit mine de réfléchir. « Si l’argent est un problème... » Il marqua une courte pause le temps d’expirer une première bouffée de fumée opaque. « Disons que j’ai quelques contacts. Ce serait dommage de les séparer trop longtemps, ces deux-là », fit-il en désignant Gabriel et Louis d’un mouvement de menton désinvolte. « Ca paye bien. Et en plus, tout part dans ta poche et pas dans celle de l’Etat. » Un ricanement lui échappa entre deux toussotements rauques.
Jules tapota gentiment l’épaule de son interlocuteur, conscient qu’il était réellement au pied du mur. « Il va l’avoir son traitement ! » tenta-t-il de lui remonter le moral en sortant un morceau de papier de sa poche.
« Appelle ce numéro en disant que tu viens de ma part. Tu me remercieras plus tard. Allez viens, Louis ! On doit encore trouver un cadeau pour ton frère. » Et il adressa un dernier clin d’oeil au père de Gabriel avant de quitter le domicile des Latour après leur avoir souhaité un joyeux noël en avance.



III. Florence (France et Monaco, 1974-1979)

Septembre 1974, Beauxbâtons.

C’était la première fois que Louis n’avait pas voulu l’attendre. A la place, il s’était précipité vers Gabriel dont le retour tant attendu semblait visiblement plus important à ses yeux que le sort de sa propre petite amie. Elle pensait pourtant qu’après leur rapprochement durant l'été, elle compterait plus que Zombie boy. Mais il n’y en avait que pour Gabriel, comme toujours.


Avril 1979, Casino de Monte-Carlo, Monaco.

« Louis, t’es sûr que c’est une bonne idée ?
— Mais oui, t’inquiète ! »
Justement, elle s’inquiétait. Entre le petit sachet qu’il avait glissé dans la main d’un gars à l’entrée et cette liasse de billets qu’il sortait d’elle ne savait où, Florence n’était pas certaine d’avoir envie de rester là.
« Tu lui a filé quoi à ce gars ? » demanda-t-elle en le regardant prendre place devant une machine à sous. Mais évidemment, il ignora sa question et elle dut la poser une deuxième fois.
« Oh, ça ? C’était juste un peu de poudre, rien d’important.
— Je veux rentrer à la maison, je me sens pas bien. »
Il avait soupiré, mais avait finalement enfoui son argent au fond de sa poche et l’avait raccompagnée, son sourire désolé marquant ses fossettes.


Décembre 1978, Centre Hospitalier Princesse Grace, Monaco.

Florence était épuisée, elle arrivait à peine à garder les yeux ouverts. La seule chose qui la maintenait éveillée, c’était toute la colère qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de laisser sortir. Surtout qu’il n’avait pas l’air de réaliser quoi que ce soit alors qu’il se contentait de sourire comme un idiot en berçant Juliette dans ses bras.
« Tu vas la reconnaître ?
— Pourquoi je ne la reconnaîtrais pas ?
— Peut-être parce que tu n’étais pas là… Tu m’avais promis, Louis. En tous cas ça devait être sacrément important pour que tu loupes la naissance de ta propre fille. »



IV. Tristan (1981)

Juin 1981, Monaco

« Et tu sais pas où elles sont ? Florence t’as rien dit du tout ? » s’inquiéta Tristan en suivant des yeux les allées et venues de son frère. Mais non, Florence ne lui avait rien dit. Elle avait profité qu’il soit parti à Londres pour se barrer avec leur fille. Sans le prévenir et sans lui donner le moindre indice sur l’endroit où elles avaient pu aller.
D’après son frère, le fait qu’il continue à dealer l’avait faite flipper. Apparemment, ils avaient encore reçu des menaces le mois avant et ça avait été la goutte de trop. Louis aurait dû se douter que ça finirait par arriver, mais ça, Tristan se garda bien de le dire. Son frère n’était pas en état de recevoir des reproches.


Novembre 1981, Londres

« Ca t’arrive de penser à lui ?
— Tous les jours. Pas toi ? »
Non, pas lui. A vrai dire, depuis que leur père s’était fait coffrer après les avoir rejoints au Royaume-Uni, Tristan ne pensait que rarement à lui. Sa vie lui semblait moins compliquée maintenant qu’il avait commencé ses études et que son frère s’était trouvé un vrai travail. Bon… Videur au Red Light n’était probablement pas la carrière dont Louis rêvait au départ, mais c’était toujours mieux que vendre de la drogue ou escroquer des Moldus avec leur père.
Et puis, Tristan était content de sa colocation avec son frangin. Après tout, ils avaient toujours pu compter l’un sur l’autre.

1958
21 mars | Naissance de Louis.
1959
24 déc. | Naissance de Tristan.
1962
13 juil. | Cécile et Jules se séparent.
1962
8 août | Jules kidnappe les garçons et déménage en France (Deauville).
1962
15 août | Cécile est internée dans un centre psychiatrique après avoir été témoin de magie.
1969
1er sept. | Première rentrée à Beauxbâtons.
1974
Mars | Devient animagus.
1974
20 juin | Commence à sortir avec Florence, une sorcière française.
1976
30 juin | Est diplômé de Beauxbâtons.
1976
sept. | Commence à dealer pour des "amis" de son père en plus de participer à quelques petits braquages.
1977
23 déc. | Naissance de Juliette. Louis rate l'accouchement.
1981
Juin | Florence disparaît sans prévenir avec Juliette et ne donne aucun indice à Louis sur où elles se trouvent.
Juillet | Louis déménage à Londres et se fait embaucher comme videur au Red Light.
Août | Jules, qui avait suivi Louis au UK se fait aussitôt coffrer par l'Auror Cenamor. Tristan se met en colocation avec Louis.
1982
Février | Louis quitte le Red Light pour devenir agent de sécurité chez Sécurisort.

Compétences


Toutes les infos sur les compétences et leur utilisation se trouvent dans le Système de jeu.
En vous inscrivant, vous bénéficiez de 40 points à répartir comme vous le souhaitez entre les 8 matières obligatoires. Attention que la note de 10/10 ne peut être attribuée que pour une seule matière. Les autres devront faire 9 ou moins.


Astronomie: 2/10
Botanique: 2/10
DCFM: 8/10
Histoire de la magie: 1/10
Métamorphose: 9/10
Potions: 3/10
Sortilèges: 7/10
Vol sur balai: 8/10

Dès la troisième année, vous avez dû choisir vos options parmi les suivantes. Choisissez-en 2 et répartissez 10 points entre elles. Vous pouvez laisser les notes des 3 autres options vides.

Étude des runes: 0/10 (évolution 4/10)
Étude des runes: 2/10
Soins aux créatures magiques: 8/10
Et le joueur alors ?
Pseudo ► syl
Âge ► le même +1
Comment as-tu connu le forum ? ► je l'ai co-fondé
Un commentaire ? ► Lord Perceval
Revenir en haut Aller en bas
Jenna Cenamor

Jenna Cenamor

ABOUT ME

Âge : 29
Messages : 110
Crédits : Syl

Feuille de personnage
XP:
Louis Charrier Left_bar_bleue94/200Louis Charrier Empty_bar_bleue  (94/200)

Louis Charrier Empty
MessageSujet: Re: Louis Charrier   Louis Charrier EmptyLun 23 Oct - 18:34

Hello baby licky licky licky licky
Revenir en haut Aller en bas
 
Louis Charrier
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Tristan Charrier, l'éternel second
» (louis) 'cause it's fast and furious

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Poser ses valises :: Répartition :: Présentation :: Sorciers répartis-
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum