no need to ask he's a smooth operator | Esteban Cortázar Jr.
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Esteban Cortázar
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Sujet: no need to ask he's a smooth operator | Esteban Cortázar Jr. Lun 11 Sep - 21:17
Esteban Cortázar Jr.
Cortázar, de son nom complet Esteban Cortázar Vázquez de Castro Cenamor Rincón Rebollo Birto Moreno de Aranda de Anteruriaga Tiapera Deltún
Esteban
28 ans
1er septembre 1953
espagnoles
né-moldu
fiancé
il a fait ses classes parmi les Vermillon à Beauxbâtons
créateur de la marque de manche à balai Cortazar, il est le premier à avoir introduit le carbone comme matériau, s'inspirant directement de méthodes moldues pour produire les manches les plus légers et résistants jamais créés. Révolutionner le monde de la course sur balai lui a d'ailleurs permis de lancer sa propre écurie. Le rêve a néanmoins touché à sa fin en juillet 1981 lorsqu'un mauvais investissement lui a été fatal. Après avoir fait faillite, il a été obligé de revendre l'écurie à son nom et a malheureusement dû revoir ses attentes à la baisse en plaçant ses dernières billes dans Securisort Ltd., une agence de sécurité anglaise de laquelle il a pris la direction en février 1982.
un suricate
Carlos Sainz Jr.
Expliquez brièvement dans quelle mesure la pureté du sang est importante (ou non) à vos yeux ► la pureté du sang ne l'avait jamais inquiété jusqu'à ce qu'il s'attaque au marché britannique en 1978. La montée en puissance de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom avait toujours été un frein pour ses affaires et ses clients devaient constamment être rassurés à l'idée de traiter avec un né-moldu. Les tensions sur le sol anglais l'avaient d'ailleurs forcé à s'offrir les services d'un garde du corps et c'est finalement à l'apogée du règne de Vous-Savez-Qui qu'il a fait faillite. Le marché britannique n'était définitivement plus disposé à signer des contrats avec un "sang de Bourbe" comme lui... Une défaite qu'il peine à avaler.
Caractère
Esprit de compétition — ambitieux — sang-froid — réfléchi — très attaché à la famille — classique — hypocrite — créatif — fashion addict — généreux — dépensier — résilient — bon chrétien
Fils d’un pilote espagnol connu (Esteban Cortázar Senior), Esteban Jr. a toujours baigné dans le monde de la compétition et a très rapidement compris que s’il voulait briller aux yeux de son père, il allait devoir penser, manger et respirer victoire. Son ambition a été entièrement façonnée autour du sport automobile avant de s'appliquer à la course de vitesse sur balai et au quidditch après qu'il ait découvert la magie.
C’est sans doute ce qui a forgé son caractère d’entrepreneur et lui a donné le sang-froid nécessaire pour gérer tout le stress que sa fonction de directeur lui impose (surtout à son jeune âge). Mais il a de la suite dans les idées et gère sa vie comme ses sociétés: avec beaucoup de sérieux. Malgré son instinct de tueur (en affaires et sur la piste en tous cas), il reste quelqu’un de réfléchi qui déteste s’embarquer dans quelque chose sans avoir pleinement pesé le pour et le contre. Il n’a pas peur de prendre des risques, mais n’en prendra jamais s’il n’a pas préalablement évalué la portée que pourrait avoir leur retombée. Ce qui ne l'empêche pas de rechercher constamment à dépasser ses limites. S'il n'y a pas de challenge, il n'y a pas d'intérêt.
Eduqué par une mère très pieuse, il agit en bon chrétien (catholique), ne rate jamais la messe de Noël et est très attaché aux traditions. Pas d’enfants avant le mariage (qui aura lieu à l’église de surcroit) ! La Magie l’a évidemment poussé à remettre certains aspects religieux en question, mais il croit en Dieu et fait de son mieux pour rester quelqu’un de bien. Dommage que ses grands principes ne le dispensent pas de mentir à tout son entourage…
Il n’a pas informé ses proches de sa faillite, trop mal à l'idée de les inquiéter alors qu’ils sont tous si fiers de lui et de sa réussite. Sa famille représente sans aucun doute ce qu’il a de plus cher et s’il devait les décevoir, il ne s’en relèverait probablement pas. Il s’est donc enfoncé dans un mensonge toujours plus gros pour les protéger de la vérité, persuadé que ce serait une question de quelques semaines avant de rétablir la situation. Pourtant les mois défilent, son capital fond comme neige au soleil et le poids de sa culpabilité pèse toujours plus lourd sur ses épaules. Mais c’est trop tard, il déteste mentir, mais n’ose plus faire marche-arrière. Et même si c’est hypocrite de sa part, ça lui fait bien trop plaisir de voir l’admiration dans le regard de ses parents…
De toute façon, il a été habitué à vivre confortablement, les Cortázar étant plutôt aisés, et il ne se voit pas simplifier son mode de vie… Mais s'il venait réellement à manquer (et ça arrivera à cette allure-là), il préfèrera pourtant cette option plutôt que de demander la charité à ses parents. Il ne supporte pas devoir rendre des comptes et a trop souvent tendance à vouloir se débrouiller seul à tout prix. Enfin, pour le moment il a encore (un peu) le temps de voir venir les choses et continue donc à mener sa petite vie de rêve, vendant progressivement ses biens immobiliers pour continuer à dévaliser les boutiques de vêtements et à jouer au golf. Il faut sauver les apparences !
Parallèlement à ça, il rebondit facilement, se montre résilient et n’est pas du genre à se laisser abattre. Esteban a beau ne rien connaître à l’art et ne pas s’y intéresser, il reste quelqu’un de très créatif. Il aime réfléchir et ressent le besoin de tout révolutionner autour de lui. La recherche le passionne, surtout s’il peut concevoir de nouvelles solutions capables des résoudre des problèmes en tous genres (même si sa formation d’ingénieur en mécanique l’a surtout rendu performant dans ce domaine plutôt que dans les autres). Il ne doute donc pas un seul instant qu’il trouvera le moyen de revenir en force dans le monde des affaires.
Quelques faits sur lui ↠ il aime le soleil et supporte très mal la grisaille anglaise ou pire, le froid. ↠ il est accro au café et le boit noir. ↠ il a fondé sa propre écurie de course sur balai. ↠ il a adopté un spitz nain nommé Taz. ↠ il adore cuisiner, surtout des spaghetti alla carbonara. ↠ il préfère la sangria aux autres alcools, mais boit du vin parce que c'est plus classe.
Histoire
I. Être deuxième, c'est être le premier des perdants (1963)
« Et en deuxième position, Esteban Cortázar ! » Perché sur le podium, juste en-dessous de Riccardo Patrese, Esteban avait attendu qu’on annonce le gagnant pour tirer de toutes ses forces sur le bouchon, secouant furieusement la bouteille jusqu’à ce qu’une épaisse mousse blanche jaillisse du goulot. Mais le sourire qui lui avait éclairé la mine en se faisant asperger de champagne disparut aussi vite qu’il était apparu. Esteban Cortázar Senior avait fondu sur lui, le tirant par le bras sans rien dire pour l’entrainer à l’écart du public. « Être deuxième, c'est être le premier des perdants, Esteban. Souviens-toi de ça. » Le gamin s’était renfrogné, cachant sa honte derrière un visage impassible tandis qu’il récupérait la coupe d’argent et son casque, laissant le circuit de karting derrière lui.
II. La liberté, c’est bien souvent l'inconnu (1964)
« Qu'est-ce que c'est que ça ? Ca veut dire quoi Beauxbâtons ? » avait demandé Raquel, mitraillant sa famille de mots à un tel débit qu’il était presque difficile de suivre toutes les questions qu’elle se posait tout haut. D’autant que personne ne semblait plus avancé qu’elle. Et finalement, la seule chose qui intéressait réellement Esteban dans cette histoire, c'était de savoir comment il allait pouvoir participer à la prochaine saison de karting s’il était envoyé dans un pensionnat français.
III. Seule la victoire est belle (1971)
L’éclat doré du trophée de la coupe de Quidditch de Beauxbâtons de 1971 luisait joliment derrière la vitrine, n’éteignant aucunement celui de la coupe disposée à sa gauche. Elle était plus petite, mais récompensait Esteban Cortázar, reconnu meilleur poursuiveur pour la quatrième année consécutive. Ce dernier avait donc remplacé la coupe de 1970 (elle rejoindrait une étagère déjà bien garnie) par celle de 1971.
Un sourire satisfait étira ses lèvres alors qu’il refermait précautionneusement la vitrine. A défaut d’avoir pu briller derrière un volant (son père l’avait toujours vu devenir pilote de rallye, ou mieux encore, de F1), il avait au moins réussi à s’illustrer sur un balai. Ce n’était pas tout à fait ce que sa famille moldue voyait pour lui, mais dans ses yeux de sorcier, tout ceci le rendait malgré tout très fier.
IV. Toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien (1978)
« Ingénieur en mécanique, hein ? » Esteban avait opiné du chef, le regard blasé, alors qu’il suçotait distraitement un quartier d’orange imbibé de sangria. « Tu vas postuler à Montmelón je suppose ? Ou tu penses pouvoir rejoindre une écurie peut-être ? » Evidemment qu’il y avait pensé. Il laissa retomber le zeste au fond de son verre et reporta son attention sur son interlocuteur, un ami de son père. « J’ai des projets » s’était-il contenté de dire en haussant les épaules. Des projets desquels il ne pouvait naturellement pas parler avec un Moldu. « D’ailleurs je ferais bien d’y retourner. Tu seras à la course de côte de Montseny, non ? Je te ferai signe depuis le podium. »
Sa réponse ne l’intéressait déjà plus. Il avait replié sa serviette et s’était éloigné de la piscine, ses lunettes de soleil posées sur le nez. Pourquoi n’avait-il pas pensé au carbone ? Il s’était instinctivement intéressé à l’aluminium, cherchant un équivalent au bois. Mais le manche d’un balai devait-il forcément être rigide ?
Sans demander son reste, le jeune Espagnol était retourné s’enfermer dans son bureau, se perdant une fois de plus dans des calculs interminables.
V. Sur les chemins sans risques, on n’envoie que les faibles (1980)
La tache d’encre s’étalait dangereusement à mesure qu’il abattait toujours plus rapidement la pointe de sa plume sur le parchemin. Sa jambe battait le même rythme saccadé sous la table tandis qu’il triturait ses mèches ébène de sa main libre. « Je sais pas ce qu’il faut faire… » se plaignait-il à son responsable achats, les yeux plus ronds qu’en temps normal. « On n’a pas vraiment le choix de toute façon... » conclut-il finalement d’une voix mal assurée qui ne lui ressemblait guère. S’ils n’investissaient pas maintenant, les coûts allaient encore augmenter et les délais de livraison ne seraient jamais respectés.
« Sur les chemins sans risques, on n’envoie que les faibles », ajouta-t-il pour se rassurer alors qu’il signait le bas du document d’un geste vif. Signait l'arrêt de mort de la Cortazar SA par la même occasion… Mais ça, il ne le découvrirait qu’après le nouvel an, lorsque la quasi totalité de ses clients n’aurait pas renouvelé leurs contrats.
VI. Sur l’apparence est bien fou qui se fonde (1981)
Ce n’était que ses vingt-huit ans. Pourquoi fallait-il forcément organiser une soirée si démesurée ? Esteban détestait contredire sa mère, surtout lorsqu’il était question de préparer sa fête d’anniversaire. Mais ils n’allaient malheureusement pas pouvoir l’organiser en Italie comme elle le souhaitait puisqu’il avait déjà hypothéqué la villa en présage des festivités… Ce qu’il se garda évidemment bien de lui dire.
« Et pourquoi pas plutôt ici ? Ce serait tellement plus simple pour tout le monde. Et puis c’est la maison de mon enfance, tu sais à quel point elle compte pour moi », tenta-t-il de la rassurer en mettant de côté la discussion qu’il avait eue avec son banquier la veille. Mais voyant que sa mère s’apprêtait à riposter, il l’avait directement coupée en sortant son dernier joker pour la faire craquer. « En plus tu vas enfin pouvoir rencontrer ma copine. Elle voudra forcément voir où j’ai grandi. Mais on fêtera mes trente ans en Italie, c'est promis. »
Son insistance avait fini par payer puisqu’elle avait accepté. Pouvait-elle seulement refuser quelque chose à son fils adoré ? En tous cas, il n’avait pas pris le risque qu’elle le fasse et se maudissait déjà d’avoir usé de chantage pour la faire plier. Mais il ne pouvait pas lui parler de ses problèmes financiers. Pas alors qu’il allait forcément trouver le moyen de remonter la pente avant que qui que ce soit ne s’aperçoive de sa faillite.
VII. Le coeur a ses raisons que la raison ignore (1982)
L’air était froid, les pavés glissants à cause du gel. Londres avait retrouvé un semblant de calme après les fêtes alors que l’enlèvement de la ministre de la magie avait poussé de nombreux sorciers à rester chez eux. Les temps n’étaient finalement pas plus sûrs, même après la chute de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom… Mais il en fallait plus pour décourager le couple de sortir, surtout lorsque le soleil pointait timidement le bout de ses rayons.
Bien entendu, ils s’étaient arrêtés devant toutes les vitrines des magasins de chaussures et pendant qu’elle repérait la nouvelle paire d’escarpins qui manquait à son dressing, il comptait mentalement le nombre de retraits auxquels il aurait encore droit ce mois-ci. Les Gobelins de Gringotts ne voyaient pas d’un très oeil les achats de monsieur Cortázar… Surtout après les dépenses astronomiques qu’il avait encore faites à l’approche de Noël. Mais comme c’aurait été bizarre qu’il la freine dans sa passion pour les chaussures, il lui avait naturellement promis qu’ils retourneraient chercher la paire de ses rêves (du moins jusqu’à son prochain coup de coeur) lorsqu’ils auraient déjeuné (un cornet de pâtes, ça les changerait des gastronomiques, avait-il dit). Esteban lui avait alors embrassé le dessus du crâne et mêla ses doigts à ceux de la jeune femme qui partageait sa vie depuis plus de trois ans. C’est là qu’il sentit la froideur du métal contre sa peau et qu’il avait relevé leurs mains entrelacées pour regarder de plus près le bijou qui ornait son annulaire gauche.
Ses yeux s’étaient agrandis en reconnaissant la bague tandis que son pauvre coeur venait de louper un battement. « Qu’est-ce que... » Cela faisait plus d’un an qu’il lui avait fait sa demande. Demande qu’elle s’était échinée à refuser jusqu’à ce qu’il se résigne à oublier ses espoirs de mariage (au grand dam de toute sa famille qui n’avait déjà pas compris pourquoi il avait attendu si longtemps avant de poser le genou à terre). « Je prends ça pour un oui », avait-il continué, le souffle court. Et puisqu’il n’avait pas d’autre choix que de s'en réjouir, il fondit sur ses lèvres pour l’embrasser suffisamment passionnément pour en oublier momentanément les coûts que représenterait un mariage. Il penserait à cela plus tard, l’important, c’était qu’elle l’aimait.
VIII. La vérité est une bulle de champagne, elle remonte toujours à la surface (1982)
« T'en tires une tête, Estie ! » Les yeux écarquillés, Esteban ne cessait de relire le patronyme qui figurait juste à côté du sien. Ca ne pouvait pas être possible, si ? En tous cas, il y croyait quand même trop pour réussir à écouter ce que son ancien garde du corps et nouvel associé lui racontait. Il limita ses réactions à l’ouverture d’une bouteille de champagne, répétant un geste qu’il connaissait bien alors qu’il en avait déjà ouvertes des centaines d’autres durant sa courte vie. « A Securisort », se força-t-il à clamer haut et fort pour faire taire toutes les questions que le nom Latour avait fait surgir en lui.
1953 ► 01 sept. | Naissance. 1964 ► 01 sept. | Première rentrée à Beauxbâtons. 1972 ► 30 juin | Reçoit son diplôme de Beauxbâtons. 1972 ► Septembre | Commence des études moldues d'ingénieur. 1978 ► Juin | Reçoit son diplôme d'ingénieur en mécanique et commence directement à travailler sur un prototype de manche à balai en aluminium d'abord, puis en carbone, alliant technologie moldue et magie. ► Août | Lance sa start-up, Cortazar, et signe son premier contrat en Espagne. ► Novembre | Devant le succès de son invention, il vise directement le pays du sport magique en attaquant le marché britannique, un marché néanmoins compliqué à cause de la montée en puissance de Vous-Savez-Qui qui l’oblige à être souvent présent sur place pour rassurer ses clients qui sont inquiets de faire affaires avec un né-moldu. 1979 ► Janvier | S'offre les services d'un garde du corps (Gabriel). 1980 ► Novembre | Prend le risque d'encore investir au Royaume-Uni malgré les tensions politiques. 1981 ► Janvier | Début d'année catastrophique alors qu'aucun de ses clients britanniques ne renouvelle de contrat avec un né-moldu. ► Juillet | Ayant réussi à faire vivoter sa société et son écurie jusque-là, il doit malheureusement mettre la clé sous la porte. Cortazar SA fait faillite tandis qu'Esteban est contraint de vendre son écurie s'il ne veut pas qu'elle disparaisse aussi. Il n'informe cependant pas ses proches de sa faillite et continue à vivre le même train de vie pour parfaire l'illusion. ► Septembre | Alors qu'il fête son vingt-huitième anniversaire en grande pompe, Esteban doit se passer des services de Gabriel parce qu’il n’arrive plus à payer. Il continue pourtant à vivre le même train de vie (au prix de la revente de ses maisons et voitures de collection) pour donner l’illusion à ses proches que tout va bien. ► Novembre | La disparition de Vous-Savez-Qui lui redonne l'espoir fou de pouvoir relancer sa marque et racheter son écurie. Il n'a malheureusement pas les fonds pour le faire et commence à arriver aux limites de son portefeuille... 1982 ► Janvier | Se fiance avec Andréa Latour. ► Février | Prend la direction de la société Securisort dont il devient actionnaire à 60% aux côtés de Gabriel, investissant toutes ses dernières billes dans cette agence de sécurité.
Compétences
Toutes les infos sur les compétences et leur utilisation se trouvent dans le Système de jeu. En vous inscrivant, vous bénéficiez de 40 points à répartir comme vous le souhaitez entre les 8 matières obligatoires. Attention que la note de 10/10 ne peut être attribuée que pour une seule matière. Les autres devront faire 9 ou moins.
Astronomie: 3/10 Botanique: 5/10 DCFM: 6/10 Histoire de la magie: 1/10 Métamorphose: 6/10 Potions: 1/10 Sortilèges: 9/10 Vol sur balai: 9/10
Dès la troisième année, vous avez dû choisir vos options parmi les suivantes. Choisissez-en 2 et répartissez 10 points entre elles. Vous pouvez laisser les notes des 3 autres options vides.
Étude des runes: 5/10 Les arts et créations magiques: 5/10
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